Abstract:
Les vestiges de Fasllar, connu comme Misthia, se trouvant au village Fasllar de Bey ehir de
Konya est un habitat ayant une source d eau. Les vestiges trouvés montrent que l habitat à Fasllar commençait
à la Période Hittite et remontait au moins jusque la fin de la Période de l Empire de Rome. Le Monument Hittite
trouvé ici, est fait non pour être emporté ailleurs mais pour être dressé ici. Le lieu où il fut dressé n est
probablement pas loin du lieu où il se trouve actuellement. Grâce à ce monument, on peut dire qu il y avait à
Fasllar un Monument Hittite d Eau comme celui d Eflatunpnar.
L importance et la sainteté de Fasllar de la Période Hittite avaient duré pendant les périodes
suivantes. Les monuments trouvés à l intérieur et aux alentours de Fasllar le prouvent clairement. On témoigne
ici de beaucoup de culte, en particulier celui de Zeus, dont certains à caractère local. Ici, Zeus fut adoré en
terme local, comme le dieu des bergers et le dieu protecteur de viticulture. Le dieu Mên, à son tour, fut respecté
comme le dieu sous la terre et le dieu de cieux. Il est possible de dire qu il y a ici un culte relatif à Cybèle, aux
Dioscures et à Poséidon. Les monuments de roche, les jattes à eau et les autres appréciations concernant le
culte de mort sont également les autres arguments des cultes contenant des offrandes de sang et d eau.
Selon les pièces ramassées à la surface et les vestiges architecturaux et épigraphiques, on peut dire que
l habitat dans ce lieu continuait, en croissant, pendant les Périodes Hellénistique et Romaine. Fasllar qui est,
avec cet état, un centre religieux n est pas le seul dans la région. On peut citer, pour cette période, Selki, la
Citadelle de Bayndrdikmen, la Citadelle de la Montagne Takkeli (Kevele), la Place Sacrée de Balkayalar et sa
Citadelle parmi les habitats entourant Fasllar.
Les sarcophages se trouvant dans la place de nécropole, nous montrent que Fasllar était une grande
habitation entre le 2e et le4e siècles apr.J.-C. ; qu il s agissait de crémation et d inhumation des morts ; qu on
utilisait généralement les tombes à tronc creusé. Les figures décrites sur les sarcophages représentent les
guirlandes en fleurs, des tabula ansata et des bustes. Les épitaphes des tombes sont écrites tantôt dans tabula
ansata, tantôt sur la façade large de la tombe.